La mousse lutte pour occuper la surface et se rend dans les écarts. Elle prépare la pousse des autres plantes et accueille les être vivants, mais en même temps, elle ruine les territoires des êtres humains.

Les réalisations de la série triptyque de Répulsion/croisement utilise l’incompatibilité de l’essence avec l’eau afin que le dessin sur la surface de la pierre lithographique évolue dans la répétition des tirages.

Elles résistent,
elles s’effacent,
elles se dégradent mais aussi se recouvrent
dans les couches des temps superposées.